Comment ça ?
Alors, quelle est la performance des portefeuilles de Wealthsimple?
L’un des plus populaires est le portefeuille «Audacieux», composé à environ 80% d’actions, à 17,5% d’obligations et à 2,5% d’or. Au 30 septembre, son rendement annualisé sur 3 ans a été un maigre 2,8%. Sur cinq ans, c’est à peine mieux: 3,8%.
Comment cela se compare-t-il au rendement d’un FNB de répartition d’actifs composé à 80% d’actions et à 20% d’obligations? Le VGRO de Vanguard, dont les frais sont de tout juste 0,24%, affiche des rendements annualisés de 5,4% sur trois ans et de 5,6% sur cinq ans.
Je pense que je comprends le principe de l'argument, mais je ne suis pas certain du rapport entre les deux :
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Alors que ces associations font souvent (et justement) lieu de contrepouvoir, n'y aurait il pas un risque de partialité si celles-ci étaient financées par l'état ? D'autant plus que certaines sont déjà partiellement financées via l'appareil politique à différents nivaux (fonds aux associations, subventions, etc.)
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Le recours aux cabinets de conseil permet théoriquement de boucher les trous de resources dans l'état, que ce soit en terme de compétence ou de disponibilité. Je suis entièrement d'accord qu'il peut y avoir des risques à externaliser ces fonctions, en particulier celui de la perte de compétence interne, mais je ne pense pas que ces associations aient vocation à répondre à ce même besoin, si ?
Suite à mon rant de la semaine dernière après BNCD, on a enfin réussi à créer tous les comptes que je demandais et les organiser comme je le voulais. Ça aura pris 2 mois et plus de 40 échanges avec le support. Il ne reste plus qu'à transférer mes comptes existants depuis Questrade et Wealthsimple, ce qui veut dire remplir et envoyer tout plein de formulaires papier, mais je vais quand même considérer ça comme un bon coup !
Ça fait quelques temps que je suis en recherche d'un nouvel emploi en parallèle de mon activité. Après les avoir rencontré sur un salon, je me suis dit que j'allais prendre rendez-vous avec mon Carrefour Jeunesse-Emploi local, avec l'idée d'avoir un retour plus approfondi sur mon cv et ma démarche et après avoir entendu plein de bons commentaires.
Je suis quand même un peu surpris : l'accompagnement semble vraiment simpliste, mon accompagnateur n'avait jamais entendu parlé de linkedin, son conseil pour l'amélioration de mon CV c'était d'ajouter de la couleur, ... J'avais l'impression qu'il cherchait plus à se débarasser de moi qu'autre chose. J'ai quand même obtenu une simulation d'entrevue, on verra bien ce que ça donne.
Je comprends, certaines bibliothèques donnent parfois des services internationaux (PressReader par exemple est disponible en chinois, anglais, turc, russe, ...).
Si tu veux accéder à la BNF, est ce qu'un VPN ne fonctionnerait pas pour toi ? J'imagine que le blocage se fait plus au niveau local qu'à celui de la BNF.
mais n’étant pas résident français, je n’y ai pas accès.
Il y a une condition de résidence pour accéder au pass lecture ? J'ai été membre pendant quelques temps en n'étant pas résident français il y a quelques années, et ça n'avait pas posé de problème, en dehors de quelques applications nécessitant d'être sur le réseau de la BNF pour fonctionner.
Le cas échéant, est ce qu'il n'existe pas un service équivalent localement pour toi ? Au Québec par exemple où je suis résident, la BAnQ offre un accès numérique gratuit aux résidents, qui permet justement d'accéder aux articles de beaucoup de journaux via Eureka ou PressReader.
Pourrait-on se constituer en groupe de lecture, et donc partager officiellement un abonnement?
À ma connaissance, la plupart de ces abonnements sont individuels, donc les partager ira à l'encontre de leurs TOS. Les abonnements collectifs tels que ceux des universités ou bibliothèques ont souvent un coût assez prohibitif...
Concernant l'antirouille électronique, ça semble en effet être le consensus.
Après, je comprends, j'avoue que j'espérais seulement que ce type de traitement serait plus efficace, mais c'est probablement mes attentes qui étaient trop hautes.
Plutôt un mauvais coup pour l'instant : je suis en processus pour transférer mes comptes vers BNCD, et ils sont en train de me rendre chèvre.
On a 3 enfants, donc 3 REÉÉ, donc ils ont ouvert 3 racines de comptes différentes. On a voulu ouvrir dans chaque racine un compte NREG de manière à pouvoir dépasser les 20k et éviter les frais, on nous a confirmé que c'était possible par téléphone, et maintenant qu'on a signé tous les papiers, il faut voir et demander des autorisations spéciales en interne... et ça tourne en rond depuis 2 mois et une quinzaine d'échanges avec le support (très réactif par contre, ça au moins on n'a pas à s'en plaindre).
Hier je voulais faire une contribution sur l'un des comptes : ce n'est pas possible. Je les contacte pour demander pourquoi, ils me disent qu'ils ont fermé le compte. Sans prévenir, rien.
Ils demandent de remplir des formulaires et de les signer, on les envois, et ils les renvoient par docusign pour être signés, pas grand chose n'est automatisé, c'est très compliqué d'ajouter un compte en banque externe et il faut pour ça envoyer un chèque de $25, l'application est compliquée et assez brouillon, ...
Bref, pas très impressionné par le service pour l'instant, mais j'espère que mon avis changera avec le temps.
Je comprend que ça soit déroutant au début, mais c'est uniquement une question d'apprentissage, de vocabulaire.
Une fois que tu as croisé 2-3 fois ces mots là ils s'intègrent dans le flux normal de la lecture et de l'utilisation, et ça fonctionne bien, sans autre changement d'usage.
Je préfère aussi la forme neutre, c'est plus élégant. Mais une des études partagée il y a quelques jours semblait dire justement que cela posait les mêmes problématiques de reconnaissance de la femme que les formes masculines, et m'a fait reconsidéré ma position.
J'ai fait un petit essai : si je dis que j'ai été pris en charge par des "nurses" à l'hôpital, tout le monde voit des femmes. Si je dis des infirmiers, tout le monde visualise uniquement des hommes. J'ai aussi demandé à ma fille de me décrire des architectes (non genré), ou des auteurs (auteur/auteure ayant la même prononciation), et elle ne m'a décrit que des hommes.
Je pense qu'il est complexe de définir ce à quoi correspond le "n'importe quoi" : je suis certain que ces mauvaises idées sont aussi le fruit de la volonté populaire et/ou de l'impact de lobbies. Au final, ces associations agissent aussi comme des lobbies auprès des dirigeants.
C'est une problématique de mission : un cabinet de conseil, tu peux tout lui demander. J'ai connu des cas où la mission était "on veut faire [insérer l'objectif du dirigeant], merci de trouver tous les arguments qui permettent de soutenir cet objectif et de démonter tous les autres", ce qui permet de donner un sceau de sérieux plus difficilement attaquable à l'idée du dirigeant. Mais aussi des cas où c'était "notre objectif est de faire [insérer l'objectif du dirigeant], quelles sont les différentes façons d'atteindre cet objectif et parmi celles-ci, quelle est la meilleure façon d'y arriver" ou même "on en est là, quelle serait la prochaine étape pour nous ?".
On en parlait récemment avec le travail de McKinsey pour la COP28 : si tu leur demandes de te trouver des solutions pour sortir des énergies fossiles, c'est ce qu'ils vont te fournir. Si tu confies ça à l'Arabie Saoudite, qui est un des pays du monde qui profite le plus des énergies fossiles, et que leur objectif est de prolonger leur utilisation, ils vont alors te fournir des scénarios dans ce sens.
Et la problématique est la même en politique : si ton objectif est d'être élu, ils vont te conseiller dans ce sens. Si ton objectif est de faire des choses qui vont dans le bon sens pour la société, tu n'es probablement pas élu en politique de toute façon ;) Ça me rappelle cet extrait du sketch de John Oliver sur le gun control en Australie/USA (je recommande de regarder en entier si tu ne l'as pas vu, c'est très drôle).