TGhost

joined 2 years ago
[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 2 points 2 years ago

Do you need it to be online ? On local I use quiterss an rsync to sync my feeds between devices if needed. You can also use syncthings to do that without scripting.

For the second asking, every site can track you even with RSS (update frequency, open articles or not etc). You can also disable JavaScript with quiterss, and then filtering the sources of value too, I guess ^^"

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com -3 points 2 years ago

Surpassed in what ? Some examples maybe ? I don't need a v8 to browse forums ^^"

Old style I guess,

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 2 points 2 years ago

Unfortunattely,

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com -5 points 2 years ago (6 children)

Jerboa or web browser for the win 😎.
Btw jerboa is dev by lemmy's des.

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 5 points 2 years ago

Ah bah ca, ils prennent pas de risques eux. Jamais.

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 3 points 2 years ago

Big fucking thanks to you,
Great works, great share, great knowledge !!

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 1 points 2 years ago* (last edited 2 years ago) (1 children)

Cest dans celui la, ou un autre, ou ils évoquent la French connection, ou la mafia corse et les RG sont lies et mains dans la mains, pour écouler l'opium aux US et donc être en guerre contre le gvt US ?

Hypocrisie a la française, a la capitaliste.

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 3 points 2 years ago

Je crois pas que ce soit dans les plans. On vante juste une police sans dire quils ont déporté le souci ailleurs. Et donc quils servent à rien.

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 2 points 2 years ago

Les gendarmes et la police attendent également des livraisons de char et d'avions.

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 2 points 2 years ago

Les fdp en émulsion totale.

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 2 points 2 years ago* (last edited 2 years ago)

Exactly the same. I should read them to laugh a little or cry and then burn them all

[–] TGhost@lemmy.dbzer0.com 2 points 2 years ago

Ca va bien peter un jour, 🙄🙄

Je balance acab, cest pas gratuit meme si en apparences.
Ils maintiennent ces gens en place !!

 

Alors je CP ici au lieu de monde car le docu est en français a destination de français et francophone.

Les manifestations de soutient pour la Palestine furent interdite au début du mois d'octobre. Cest donc un sujet concernant les français car dans le meme temps nos représentants politiques ont appellés a des marches et donné le soutient inconditionnel au nom du peuple francais, aux actions menés par Bibi...

Doc à voir, pas de trash useless, met en parallèle le 7 octobre avec l'histoire récente du territoire israélo-palestinien, et donne la parole à des membres des deux camps.

La France est le seul pays a avoir rendu le boycott illégal en 2015, et maintenant l'interdiction temporaire tente pour empêcher toute expression en soutient au peuple palestinien.

Reportage d'utilité publique montrant que la haine n'engendre que de la haine.
Nous avons mis de coté le commandot Azov, faisons pareil...

Ce conflit est physiquement impactant et moralement également pour les français. Les impacts se font ressentir sur le sol de France. Je CP donc ici.

HS : Supprimez la règle 7 du c pls

 

cross-posted from: https://lemmy.dbzer0.com/post/12059526

Vidéos en anglais.

Si vous avez d'autres youtubeuses ou podcasteurs, blogueurs de qualité, qui ne diffusent pas des choses haineusds dd maniere incidieuse (volontairement ou malgré eux) n'hésitez pas.
Je ne veux juste pas quelqu'un fan de Harry Potter m'expliquant ce que je vis ou m'arrive.

 

cross-posted from: https://lemmy.dbzer0.com/post/11993425

cross-posted from: https://lemmy.blahaj.zone/post/7381989

This thread is intended for blåhaj zone users. Top level comments from accounts on other instances will be removed.

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It has recently been brought to my attention that the lead admin of programming.dev is engaging in ongoing transphobia.

You can see the conversation in question here https://programming.dev/comment/6131539

For that reason we will be defederating from programming.dev in 48 hours.

There are only three communities on that instance used by small number of our users, so this won't have a big impact, but if you are one of those users, you will need to use an alt account on another instance if you wish to access the communities.

 

Article en Francais, pour un public français principalement et francophone, je CP donc ICI. cross-posted from: https://lemmy.dbzer0.com/post/11916341

cross-posted from: https://slrpnk.net/post/5566845

À Kyiv, Vitalii compare, bien seul, Gaza à Marioupol

Signataire d’une lettre de « solidarité avec le peuple palestinien » qui lui a valu une dispute avec son grand-père installé en Israël, Vitalii explique le soutien massif des Ukrainiens à l’État hébreu par l’impossibilité de voir des oppresseurs dans les pays occidentaux qui défendent Tel-Aviv comme Kyiv.

Pierre Alonso, 7 janvier 2024 à 12h48

Kyiv (Ukraine).– Vitalii Pavliuk a dit pour la première fois à son grand-père d’aller « se faire foutre » à 30 ans. C’était en novembre dernier. Depuis plusieurs semaines, l’armée israélienne pilonnait la bande de Gaza en réponse aux attaques du Hamas qui ont tué environ 1 200 personnes le 7 octobre. L’auteur et traducteur, né dans une famille juive laïque à Donetsk, dans le Donbass, venait de cosigner une « lettre ukrainienne de solidarité avec le peuple palestinien » (à lire dans le Club de Mediapart).

Le texte « condamn[e] fermement les attaques contre les populations civiles », et rappelle le bilan déjà effroyablement élevé de l’opération israélienne (à l’époque plus de 8 500 habitant·es tué·es dans la bande de Gaza d’après les autorités locales) puis déroule des arguments critiques contre la politique du gouvernement israélien. Alors que la lettre de solidarité connaît un succès rapide (environ 45 000 vues sur Commons, le journal en ligne de la gauche ukrainienne qui l’a initialement publiée), Vitalii reçoit un commentaire acerbe de son grand-père maternel, résidant en Israël depuis l’effondrement de l’empire soviétique.

« Il me dit que je suis un traître et que ce texte fait la propagande de la Russie », raconte le trentenaire. L’accusation est insupportable pour lui qui porte encore le deuil de son père, tué en mai dans les environs de Bakhmout où il combattait l’armée russe. « J’ai dit à mon grand-père d’aller se faire foutre, de ne plus jamais me parler comme ça et de s’excuser s’il voulait qu’on se reparle un jour », se souvient Vitalii Pavliuk, qui estime n’avoir aucune leçon de patriotisme à recevoir, lui qui œuvre à la promotion de la culture ukrainienne et qui a choisi l’Ukraine à deux reprises ces dix dernières années.

En 2014, il est étudiant à Donetsk quand les troubles causés par les séparatistes éclatent. Épaulés par Moscou qui cherche à se venger de la révolution de Maïdan, ils veulent faire sécession. « Au tout début, je ne savais pas ce qui était le mieux, entre la Russie et l’Ukraine. J’étais déconcerté, relate-t-il. Les gens vivaient mal dans le Donbass mais je n’avais pas la preuve que les gens vivaient mieux là-bas [en Russie – ndlr]. » Il se renseigne, particulièrement sur la Transnistrie et l’Abkhazie, des régions annexées ou occupées par Moscou en Moldavie et en Géorgie, et en arrive à la conclusion que rien de bon n’attend leur région si elle passe sous giron russe. « J’ai donc choisi l’Ukraine. » Il se rend aux manifestations en faveur de Kyiv.

Sa sœur et sa mère s’exilent dans la capitale, puis en Israël. Il les imite un peu plus tard, quittant un conflit qui naît pour un autre qui refuse de s’éteindre depuis 70 ans. Pendant un an et demi, il découvre un Israël rêvé dans un kibboutz proche de Haïfa où, embauché dans un zoo, il soigne son dégoût pour les êtres humains au contact des animaux. « On m’a donné un toit, de l’argent, des études, et l’État me fournissait un peu d’argent. »

Vitalii parle aujourd’hui de ces dix-huit mois comme des « dernières vacances d’été » de sa vie. Puis des rencontres avec des Israélien·nes et des Palestinien·nes fissurent doucement l’image idéalisée d’un pays « qui prend soin de ses citoyens, qui rémunère justement le travail, où la police protège et n’agresse pas ». « La violence dans les territoires occupés, le racisme au sein de la société… j’ai commencé à creuser », raconte Vitalii qui est confronté aux silences et tabous de la société israélienne.

Des drapeaux israéliens aux fenêtres

Après deux ans et demi, il décide de rentrer en Ukraine. « L’une des choses que je voulais alors, et que je souhaite toujours, c’est que l’Ukraine ne devienne pas Israël, qu’on n’oublie pas tout à cause de la guerre, qu’on ne succombe pas à la pensée “c’est nous ou eux” », résume-t-il, très empathique envers les Palestinien·nes de par sa propre expérience : « J’ai dû m’exiler deux fois : de Donetsk [en 2014] puis de Kyiv au début de l’invasion à grande échelle. Je me sens comme ceux qui ont connu la Nakba [l’exode des Palestinien·nes en 1948 – ndlr] et doivent maintenant fuir Gaza à cause des bombardements. »

Dans la société ukrainienne, les marques de solidarité envers la Palestine sont rarissimes, tandis qu’un élan fraternel envers Israël s’est élevé après les attaques du 7 octobre 2023. Le président Zelensky a multiplié les déclarations de soutien à Tel-Aviv. Des anonymes ont accroché des drapeaux de l’État hébreu à leur fenêtre. Les images des destructions colossales à Gaza, qui rappellent pourtant le siège de Marioupol, n’y ont rien changé : les Ukrainien·nes s’identifient très majoritairement aux Israélien·nes, pas aux Gazaoui·es. « Les gens disent ici que nous n’avons pas attaqué la Russie, qu’il n’y avait pas de tunnels utilisés par des terroristes sous Marioupol », constate Vitalii.

Le discours installé par le gouvernement, selon lequel le Hamas serait à Israël ce que la Russie est à l’Ukraine, n’est que très peu remis en question par la population. Vitalii y voit une raison historique : « L’Ukraine se bat depuis très, très longtemps pour se rapprocher de l’Occident. On y est presque aujourd’hui, et c’est ce qu’on voulait. L’Occident n’est pas idéal, c’est compliqué et parfois dégoûtant. Aujourd’hui, nous dépendons énormément de nos alliés, qui ont fait des choses horribles dans le passé. »

Faire ce constat demande un supplément de lucidité que tout le monde n’a pas autour de lui, pour des raisons compréhensibles, poursuit-il : « Les gens ne sont pas prêts à penser à notre guerre, à travailler dur pour faire des donations [à l’armée – ndlr], à s’occuper de leur famille, à essayer de rejoindre l’UE et l’Otan, et en même temps à penser que ce que font l’Otan ou les États-Unis est mal. Ma mère m’a dit à propos de la guerre à Gaza : “Je suis tellement fatiguée par notre guerre que je n’ai plus d’énergie pour penser à une autre.” » Il faudra du temps, ajoute-t-il, pour que la population pose un regard critique sur ce futur qu’elle a choisi et qui lui coûte si cher.

En attendant cet éveil collectif, Vitalii a décidé de ne plus répondre à toutes les provocations et de couper court aux discussions sans fin sur Israël. Il reparle à son grand-père, qui s’est excusé pour ses mots outranciers. Le vieil homme, qui a travaillé comme éditeur et a toujours une passion pour l’archivage, a récemment mis la main sur un dictionnaire arabe-russe. Il l’a envoyé à son petit-fils, qui apprend l’arabe. « Pour lui, le savoir est plus important que tout le reste. »

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