Toutefois, selon des experts et des groupes environnementaux, le projet de TES ne respecte pas la loi qui protège le monopole de la société d’État, notamment parce qu'il se fera sur un territoire où Hydro-Québec a l'exclusivité de la distribution.
"On ne parle plus d’autoproduction : c’est de la production indépendante d’électricité qui se fait à des kilomètres de l'usine. C’est en porte-à-faux avec le monopole d’Hydro-Québec. La propriété de ce parc-là pourrait changer de main aussi et ça deviendrait un contrat de production d’électricité", s’inquiète Jean-Pierre Finet, analyste au Regroupement des organismes environnementaux en énergie (ROEE), en entrevue à Radio-Canada.
Le ministre Fitzgibbon affirme au contraire que la loi permet l’autoproduction pour les entreprises comme TES et que les éoliennes du projet seront branchées directement à l’usine.
On le voit venir à 100 milles à l'heure...
Ça fait partie de ses plans de privatiser la production d'électricité au Québec pour remettre ça entre les mains de ses chums, j'en suis persuadé.