Je suis d'accord avec toi, on peut couper seulement jusqu'à un certain point. Et quand t'es rendu dans le très très cheap il reste peu de valeur nutritive puisque c'est rempli de filler.

En même temps, difficile de dire à quelqu'un qui a de la misère à arriver d'acheter local et frais, souvent ces produits sont beaucoup plus chers. Une chose qui manque cruellement aussi (en ville comme en région) c'est les cuisines communautaires. Je crois qu'il y a de quoi à faire là, avec des compagnies comme Second-Life qui récupère les aliments rejetés des épicieries qui pourraient fournir des ingrédients à moindre coût à des organismes, qui en retour pourraient organiser des soirées de popote en groupe pour se faire des repas pour la semaine.

[–] Nevrome@lemmy.ca 2 points 2 years ago (1 children)

C'est clair que ça prend ça, le problème c'est juste que c'est jamais rentable. Ça te prend de bon sponsors ou encore un propriétaire aux poches profondes sinon ta cuisine communautaire roulera pas longtemps.

Parfois, c'est pas les intentions qui manquent, c'est juste que tout le monde doit pouvoir mettre du pain sur la table à la fin du mois.

[–] swan_pr@lemmy.ca 2 points 2 years ago

Je viens de tomber sur cet article très pertinent, ça donne espoir de belles initiatives comme ça :) https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2001207/nourriture-finances-social-partage