Environnement

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Parler de l'environnement en français: changement climatique, empreinte carbone, extinction de masse, etc.

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Le Haut Conseil pour le climat exhorte le gouvernement à accélérer son action climatique

Dans son nouveau rapport annuel, la vigie française du climat salue l’accélération de la baisse des émissions du pays. Toutefois, elle alerte sur les impacts du chaos climatique qui croissent plus vite que les moyens mis en œuvre par le gouvernement pour s’y adapter.

Mickaël Correia, 20 juin 2024 à 06h59

C’est la vigie française de l’action publique en matière climatique. Le Haut Conseil pour le climat (HCC), organisme indépendant placé auprès des services du premier ministre, a publié jeudi 20 juin son sixième rapport annuel.

L’étude, intitulée « Tenir le cap de la décarbonation, protéger la population », était attendue, après une année 2023 qui a été la plus chaude jamais enregistrée sur Terre, et après que le gouvernement a, en février, amputé de 2,2 milliards d’euros le budget dédié à l’écologie.

Lors de la présentation du rapport, la climatologue et présidente du HCC Corinne Le Quéré a tout d’abord souligné qu’« au cours de la dernière décennie, la France a fait l’expérience de l’aggravation des impacts du changement climatique », avant de rappeler que « plusieurs limites ont été atteintes localement en France, notamment en termes d’accès à la ressource en eau ».

Le rapport du HCC indique en effet que « certains territoires français, notamment ceux qui ont été fréquemment inondés, ont déjà atteint les limites de leurs capacités d’adaptation au changement climatique » et que les inégalités d’exposition face au dérèglement du climat « risquent de s’aggraver », notamment pour les enfants, les ménages et les entreprises. Et le HCC de prévenir : « L’exposition accrue de la population, des écosystèmes, des infrastructures et des activités économiques [aux] conséquences [du réchauffement] présente des risques majeurs pour la société. »

L’adaptation au changement climatique est en train de s’institutionnaliser et de se pérenniser, estime le HCC, mais « un changement d’échelle est essentiel » car la surchauffe de la planète s’intensifiant rapidement, les moyens mis en œuvre par l’État pour en limiter les impacts demeurent trop lents. « Le décalage se creuse entre les mesures prises et les besoins d’adaptation », a résumé Sophie Dubuisson-Quellier, directrice de recherche CNRS et membre du HCC.

Des baisses d’émissions encourageantes

Côté rythme de décarbonation de la France, et alors que l’Europe se réchauffe deux fois plus vite que le reste du globe, les émissions brutes de gaz à effet de serre du pays ont baissé de 5,8 % par rapport à 2022. Le HCC précise que, pour la première fois et hors crise covid, le rythme de baisse de nos émissions est cohérent avec une trajectoire de décarbonation pour atteindre nos objectifs climatiques en 2030.

Un tiers de cette baisse entre 2022 et 2023 est dû à des facteurs conjoncturels, en particulier avec « le retour à la normale de la production électrique, après l’arrêt de plusieurs centrales nucléaires et le manque d’eau dans les barrages en 2022 », détaille le rapport.

Toutefois, malgré ces résultats encourageants, l’atteinte de l’objectif de neutralité carbone d’ici à 2050 reste lointaine.

Le rythme de réduction des émissions du secteur des transports doit tripler à l’horizon 2030 – et ce, alors que le président Emmanuel Macron a, en septembre 2023, affirmé à la télévision « adorer la bagnole ».

Par ailleurs, le HCC pointe aussi l’urgence à préserver les puits de carbone naturels, c’est-à-dire les écosystèmes qui absorbent une partie du CO2 émis dans l’atmosphère. Ces derniers sont de plus en plus fragilisés par les impacts des dérèglements climatiques comme les mégafeux ou les sécheresses.

Membre du HCC, Jean-François Soussana, directeur de recherche et vice-président de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae), chargé de la politique internationale, a alerté lors de la divulgation du rapport : « Il n’y pas encore de politique publique ambitieuse en matière de stockage du carbone par les forêts et dans les sols cultivés, notamment les prairies. »

Un calendrier législatif qui prend du retard

Enfin, le HCC s’est surtout alarmé des dispositions législatives climatiques qui prennent du retard. « Ni la loi de programmation énergie et climat, ni la Stratégie française énergie et climat, ni la 3e Stratégie nationale bas carbone (SNBC), ni le 3e Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC), ni la 3e Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) n’ont été formellement adoptés, en dépit des obligations législatives », mentionne le rapport.

Face à ce calendrier législatif climatique repoussé, Corinne Le Quéré a été jusqu’à écrire le 2 avril une missive au premier ministre, Gabriel Attal, se préoccupant « du risque de recul de l’ambition de la politique climatique » du pays.

« Nous avons un gros problème de retard sur la publication de la Programmation pluriannuelle de l’énergie : pour l’instant nous n’avons pas de visibilité sur le déploiement des énergies décarbonées après 2028, s’est inquiétée la présidente du HCC. Le développement du nouveau nucléaire est long et incertain, et nous avons besoin à court terme d’énergie décarbonée, ce que permet le déploiement des énergies renouvelables. »

La publication de ce sixième rapport annuel marque la fin de la première mandature du HCC, qui s’achèvera officiellement le 24 juin (avant la nomination, par décret, des membres de l’organisme et d’un nouveau président) et ce dans un contexte politique marqué par la dissolution de l’Assemblée nationale. En effet, le Secrétariat général à la planification écologique (SGPE), conseil d’expert·es directement rattaché au premier ministre qui pilote la transition écologique du pays, semble actuellement en suspens alors que les documents-cadres climatiques comme la SNBC, la PPE ou le PNACC sont techniquement prêts, n’attendant plus qu’un feu vert politique.

Des circonstances politiques que n’a pas voulu commenter le HCC, à l’instar de Sophie Dubuisson-Quellier qui a déclaré en conférence de presse : « Tout gouvernement sera de toute façon confronté aux impacts du changement climatique. »

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« Une des raisons du déclin de l’écologie politique est, à l’évidence, la criminalisation du mouvement environnementaliste »

Les actions de l’Etat contribuent à relativiser auprès de l’opinion la légitimité de la cause environnementale, analyse Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.« Une des raisons du déclin de l’écologie politique est, à l’évidence, la criminalisation du mouvement environnementaliste »

C’est un paradoxe qui passionnera sûrement, un jour, les politistes et les historiens. Pourquoi, alors qu’à peu près tout ce que le mouvement écologiste annonce depuis un demi-siècle est en train d’advenir, l’écologie politique est-elle à ce point en déclin ? En France, il est de bon ton de moquer l’incapacité des Verts à convaincre, mais force est de constater que c’est en réalité toute la thématique environnementale qui a presque disparu de la conversation publique en vue des élections européennes du 9 juin.

Plusieurs facteurs conjoncturels expliquent cet effondrement : le retour de la guerre et l’exigence renouvelée de puissance des Etats, l’inflation, la capture de certains grands médias et leur mise au service d’intérêts idéologiques et-ou industriels, etc.

Une autre cause, plus profonde, est aussi, à l’évidence, la criminalisation du mouvement environnementaliste. Michel Forst, le rapporteur spécial des Nations unies (ONU) sur les défenseurs de l’environnement, s’en est ému à plusieurs reprises au cours des derniers mois. Toute l’Europe est touchée, mais, dans un entretien accordé début juin à Reporterre, M. Forst estime que, en termes de gestion policière des actions écologistes, la France fait figure d’exception – le Royaume-Uni se distinguant par l’extravagante sévérité de sa réponse judiciaire. « La France est le pire pays d’Europe concernant la répression policière des militants environnementaux, dit le rapporteur spécial de l’ONU. La violence des forces de l’ordre est hors catégorie. Leurs homologues à l’étranger ne comprennent pas la manière dont les Français répondent aux manifestations, ne comprennent pas qu’on puisse user d’une telle violence. »

Un pouvoir normatif

Ces mots ne sont pas ceux d’un dangereux zadiste ou d’un opposant politique. Personnalité d’une grande pondération, Michel Forst a été nommé à son poste en 2022, au terme d’un consensus des 158 Etats-parties à la convention d’Aarhus (Danemark) – signée en 1998 et entrée en vigueur en 2001, elle prévoit trois droits en matière d’environnement pour les citoyens et les associations : l’accès à l’information, la participation au processus décisionnel et l’accès à la justice.Un pouvoir normatif. Ces mots ne sont pas ceux d’un dangereux zadiste ou d’un opposant politique. Personnalité d’une grande pondération, Michel Forst a été nommé à son poste en 2022, au terme d’un consensus des 158 Etats-parties à la convention d’Aarhus (Danemark) – signée en 1998 et entrée en vigueur en 2001, elle prévoit trois droits en matière d’environnement pour les citoyens et les associations : l’accès à l’information, la participation au processus décisionnel et l’accès à la justice.

Les formes de répression qu'il dénonce sont non seulement une menace pour la démocratie elle-même, comme il le dit en substance, mais elles ont aussi à n'en pas douter un effet politique. De fait, les actions de l'Etat ont sur l'esprit de ses administrés un pouvoir normatif, et la spectaculaire brutalité du traitement réservé aux militants écologistes agit comme une remise en cause « officielle » de la légitimité de leur cause, une relativisation de la gravité des questions qu'ils soulèvent.

Les exemples ne manquent pas. Le 24 mai, l'action de protestation menée par Extinction Rebellion et Greenpeace devant le siège d'Amundi (une société de gestion qui est l'un des principaux actionnaires de TotalEnergies), à Paris, s'est soldée, selon une note interne des services de la Préfecture de police que Le Monde a pu consulter, par 220 interpellations dont 215 gardes à vue. Parmi elles, seules cinq personnes ont finalement fait l'objet de poursuites.

Sans occulter la réalité des troubles et des dégâts provoqués par certains militants, sans ignorer non plus les gestes de violence gratuite commis par les forces de l'ordre à leur endroit, quel sens donner à un tel fiasco policier ? Interpellations de masse, gardes à vue abusives ou interdiction de manifester ne sont pas seulement des instruments d'intimidation, ils sont autant de signaux adressés au corps social. L'écologie ? Une affaire de dangereux délinquants.

Ce stigmate, les militants d'extrême droite, ou ceux de l'agriculture productiviste, y échappent largement. On s'en souvient : le 30 janvier, au moment même où le premier ministre Gabriel Attal prononçait son discours de politique générale assorti d'un martial « Tu casses ? Tu répares ! Tu salis ? Tu nettoies ! » (adressé à la jeunesse), les forces de l'ordre ouvraient poliment le passage aux engins agricoles un peu partout en France, afin que ceux-ci puissent procéder au déversement de dizaines de tonnes de lisier et de déchets sur les bâtiments de l'Etat – avec des perspectives limitées de réparation ou de nettoyage.

Aucun communiqué

Ces asymétries, dont il faut reconnaître qu'elles confinent parfois à l'absurde, sont légion. La journée du 1er juin en offre un remarquable précipité. Ce jour-là, à moins d'une semaine des commémorations du Débarquement, la préfète du Morbihan annonce avoir porté plainte contre Les Soulèvements de la Terre, pour des « dégradations » commises sur le monument aux anciens combattants de Sérent (Morbihan). Curieusement, son communiqué n'apporte aucun détail sur ces « dégradations ». Il faut se reporter aux images de revendication de l'action pour constater que celles-ci consistent essentiellement en un collage aux dimensions de deux rangées de feuilles A4, non sur le monument lui-même, mais sur son parvis, formant la phrase : « Le vivant en résistance. »

S'agit-il, comme s'en indigne la préfecture dans son communiqué – aussitôt répercuté par la secrétaire d'Etat aux anciens combattants –, d'un « acte de vandalisme qui porte atteinte à la mémoire des combattants tombés pour défendre notre pays » ? Peut-être, après tout.

Mais le même jour et dans la même région, à Rosporden (Finistère), France Bleu Breizh Izel rapporte qu'un ancien candidat du Rassemblement national se lève au cours d'une réunion publique pour faire le salut nazi, prononçant distinctement « Heil, Hitler ! »Rien, manifestement, qui salisse la mémoire des soldats du 6 juin 1944 : aucun communiqué de la préfecture du Finistère sur une éventuelle plainte – elle sera déposée par la Ligue des droits de l'homme –, aucune déclaration ou émotion particulière du côté du gouvernement.

En miroir de la criminalisation des mouvements écologistes se construit ainsi la banalisation des postures et des mots de l'extrême droite la plus radicale, ratifiée par les silences du gouvernement et des services de l'Etat.

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Le secteur de Coulounieix-Chamiers et Sanilhac, entre l'autoroute et la ville, est infesté de sangliers. Un lieutenant de louveterie mandaté par la préfecture pour des tirs de nuit en a compté 150 en une seule nuit**, le weekend dernier. Les chasseurs locaux sont désabusés : avec la ville qui s'étend et toutes les constructions récentes, il est devenu très compliqué de faire des battues dans le secteur.

"C'est devenu inchassable, en tout cas en sécurité. Il y a trop de maisons, trop de routes, le sentier de randonnées qui passe au milieu et des cabanes de gamins dans tous les bois, les gens ont peur", assure Maurice Morin, le président d'une des trois sociétés de chasse de Sanilhac : "Moi j'ai dit : c'est fini, je ne ferai plus de battues autres que des battues administratives. Le sanglier est très intelligent, il a vite compris qu'ici, on lui fout la paix !"

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Extrait

La coalition reste également vigilante sur la méthodologie qui sera adoptée pour l’affichage environnemental et le futur décret d’application de la loi qui définira la fast-fashion. Les associations comptent sur les décideur·euses politiques pour ne pas faiblir face aux attaques des lobbies de l’industrie textile. Il est primordial d’éviter que les enseignes historiques de fast-fashion, telles que Zara, H&M, Action ou encore Primark, ne passent entre les mailles du filet.

Nous continuerons à nous mobiliser pour les prochaines étapes du processus législatif. La coalition espère que le texte sera débattu au plus vite au Sénat. Lors de ces prochaines étapes, l’enjeu sera tout aussi fort. Le texte voté aujourd’hui, bien qu’imparfait, ne doit pas être détricoté. Il en va de son efficacité à lutter véritablement contre les dérives de la fast-fashion.

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« Ce que je vois surtout aujourd’hui, c’est qu’on cherche à criminaliser notre action et que c’est un signal fort que vous (les juges, ndlr) allez envoyer à la population et à la jeunesse qui ne veulent plus de ces pratiques immorales qui les privent de leur façon d’habiter le territoire au présent, et de leur futur ! »

Rien de nouveau à l'ouest.

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Lecture légère, sur la base de témoignages et non évalué de manière scientifique, qui met en lumière les différentes contradictions de notre engagement militant et militante, de la difficulté social d'atteindre notre idéal.

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« Secte rétrograde », « délinquants »... Certains médias et politiques rivalisent d’imagination pour qualifier les opposants à l’A69. Des mots parfois injurieux, qui viennent justifier une répression grandissante.

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Félicien Creuchet est chargé de communication à l’Agence de la transition écologique (Ademe) et membre du collectif Pour un réveil écologique. Dans une tribune à Vert, il incite les professionnel·les de la communication à exiger le droit de refuser de travailler pour des clients climaticides, un véritable organe de régulation publicitaire public et la mise en place de chartes d’éthique au sein des services de communication.

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La FNSEA aime la nature qu'on vous dit !

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submitted 2 years ago* (last edited 2 years ago) by Snoopy@jlai.lu to c/environnement@jlai.lu
 
 

The wait is finally over. From 2024, USB-C will be the common standard for electronic devices in the EU – and we have already seen the impact !

It means

  • 🔌The same charger for all phones, tablets and cameras
  • ⚡ Harmonised fast-charging technology
  • 🔄Reduced e-waste

One charger to rule them all.

Now, a reality.

Learn more about the #EUCommonCharger here: https://europa.eu/!hwjj3G

Unbundling the sale of a charger from the sale of the electronic device .

The 'common charging' requirements will apply to all handheld mobile phones, tablets, digital cameras, headphones, headsets, portable speakers, handheld videogame consoles, e-readers, earbuds, keyboards, mice, and portable navigation systems as of 2024. These requirements will also apply to laptops as of 2026. Such transition periods will give industry sufficient time to adapt before the entry into application.

Consumers will be able to purchase a new electronic device without a new charger. This will limit the number of chargers on the market or left unused. Reducing production and disposal of new chargers is estimated to reduce the amount of electronic waste by 980 tonnes yearly

Producers will need to provide relevant visual and written information about charging characteristics, including information on the power the device requires and whether it supports fast charging. This will help consumers understand if their existing chargers meet their new device’s requirements and/or help them select a compatible charger. Combined with the other measures, this will help consumers to limit the number of new chargers purchased and save at least €250 million a year on unnecessary charger purchases.


L'attente est finalement terminée. À partir de 2024, l’USB-C deviendra la norme commune pour les appareils électroniques dans l’UE – et nous avons déjà vu son impact !

Cela signifie

  • 🔌Le même chargeur pour tous les téléphones, tablettes et appareils photo
  • ⚡ Technologie de charge rapide harmonisée
  • 🔄Réduction des déchets électroniques

Un chargeur pour les gouverner tous. Maintenant, une réalité. Pour en savoir plus sur le #EUCommonCharger, cliquez ici : https://europa.eu/!hwjj3G

Les exigences de « charge commune » s'appliqueront à tous les téléphones mobiles portables, tablettes, appareils photo numériques, écouteurs, casques, haut-parleurs portables, consoles de jeux vidéo portables, liseuses électroniques, écouteurs, claviers, souris et systèmes de navigation portables à partir de 2024. Ces exigences s’appliquera également aux ordinateurs portables à partir de 2026. De telles périodes de transition donneront à l’industrie suffisamment de temps pour s’adapter avant l’entrée en application.

Les consommateurs pourront acheter un nouvel appareil électronique sans nouveau chargeur. Cela limitera le nombre de chargeurs sur le marché ou inutilisés. On estime que la réduction de la production et de l'élimination des nouveaux chargeurs permettrait de réduire la quantité de déchets électroniques de 980 tonnes par an.

Les producteurs devront fournir des informations visuelles et écrites pertinentes sur les caractéristiques de charge, y compris des informations sur la puissance requise par l'appareil et s'il prend en charge une charge rapide. Cela aidera les consommateurs à comprendre si leurs chargeurs existants répondent aux exigences de leur nouvel appareil et/ou les aidera à sélectionner un chargeur compatible. Combinée aux autres mesures, cette mesure aidera les consommateurs à limiter le nombre de nouveaux chargeurs achetés et à économiser au moins 250 millions d'euros par an sur les achats inutiles de chargeurs

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Dans ce fil : on se confesse, on raconte en quoi on participe à détruire la planète, et on laisse les autres nous cyberfouetter pour ça.

(aucune idée si ça prendra, mais j'ai besoin de lister les miens pour expier ^^)

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Le sabotage est-il légitime ? Les luttes écologiques actuelles imposent désormais la question, à laquelle on essaye de répondre avec mon invitée pour cette vidéo, mon amie u/CamilleReporter go découvrir son super travail :
/@CamilleReporter

Si vous voulez signer la pétition contre l’A69 :
https://stop-a69.agirpourlenvironnement.org/

Ainsi que donner dans la caisse de lutte :
https://www.helloasso.com/associations/cacendr/collectes/caisse-de-solidarite

Cette vidéo est soutenue par le partenaire le plus cool de la terre, le jeu de carte indé créé par les sans culottes en 1793 et remis au goût du jour par Virgile, un guide passionné d’histoire de Paris : Révolution
Oubliez pas d’utiliser le code promo AUTREHISTOIRE
https://www.etsy.com/fr/shop/RevolutionsdeParis
Et allez suivre leur compte insta :
https://www.instagram.com/revolutionsdeparis/

◾Texte/voix/montage : Manon Bril
◾Documentation : Vincent Girard
◾Image : Nicolas Thomas
◾Production : Marie Camier
https://www.instagram.com/mariecamiertheron/
◾Musique :
Wax Tailor
https://www.waxtailor.com/
Epidemic sound
◾Sous-titres : Léa Massiani
◾Remerciements : @CamilleReporter

◾On se retrouve sur les réseaux :
Tiktok : https://www.tiktok.com/@manonbrilcuah
Instagram : https://www.instagram.com/manonbrilcuah
Twitter : https://twitter.com/BrilManon
Facebook : https://www.facebook.com/cestuneautrehistoirelachaine

◾Sources :
▫️Ouvrages
Sébastien ALBERTELLI, Histoire du sabotage, de la CGT à la Résistance, Perrin, 2016
Andreas MALM, Comment saboter un pipeline, La fabrique éditions, 2020
Victor CACHARD, Emile Pouget et la révolution par le sabotage, Editions Libre, 2022

Articles et sites internet
Cécile, DUCOURTIEUX, Thomas WIEDER, Audrey GARRIC, “Londres, Paris ou Berlin : Extinction Rebellion lance des blocages dans le monde entier“, article paru sur lemonde.fr, 8 octobre 2019 : https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/10/08/londres-paris-ou-berlin-extinction-rebellion-lance-des-blocages-dans-le-monde-entier_6014648_3244.html
R.H LOSSIN, “sabotage as Environnemental Acitvism“, Public Seminar, 3 juillet 2018
Notice dédiée à Emile Pouget dans le dictionnaire biographique du mouvement social et ouvrier, le Maitron : https://maitron.fr/spip.php?article155495
Site internet des archives du Pas-de-Calais, page dédiée au Carnet B : https://www.archivespasdecalais.fr/Decouvrir/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/Histoires-de-la-Grande-Guerre/De-l-utilisation-du-carnet-B

Vidéos et reportages
Nota Bonus - L'art du sabotage social par Horizon Gull - Montbazon 2016 /watch?v=hSXSdr9hoMk&t=0
Une histoire du sabotage, entretien avec Victor Cachard, chaine youtube de Lundimatin : /watch?v=EKRbRcV1JqU&t=34
Blast - A69, pourquoi une telle aberration écologique et démocratique ? :
/watch?v=_36RR84s7Hc&t=0
Le Média - Contre l’autoroute A69, il est prêt à mourir :
/watch?v=B7v7TASqjqw&t=0
Partager C’est Sympa - Le Mur de l'Autoroute A69 : La Voie est Libre ! :
/watch?v=Dxr-G6rkpvU&t=0
Partager C’est Sympa - Le Carnage de l'A69 : Comment en est-on arrivé LÀ ?!
/watch?v=Foy1LaLEQ9s&t=0

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What was once pasture is now a forest.

www.boredpanda.com/brazilian-couple-recreated-forest-sebastiao-leila-salgado-reforestation/
institutoterra.org/o-instituto/

Instituto Terra is a non-profit civil organization founded in April 1998. It is focused on the environmental restoration and sustainable rural development of the Doce River Valley. The region was originally covered by the Atlantic Forest and covers municipalities of Minas Gerais and Espírito Santo bathed by the Doce River Basin.

The Rio Doce Basin is one of the most important in the Brazilian Southeast. In its domain live more than four million people, who face the consequences of deforestation and the disordered use of natural resources, such as soil erosion and water scarcity.

The Terra Institute is the result of the initiative of the couple Lélia Deluiz Wanick Salgado and Sebastião Salgado, who faced the scenario of environmental degradation in which the old cattle farm acquired from the family of Sebastião Salgado – like the many other rural units located in the mining city of Aimorés – made a decision: to return to nature that decades of environmental degradation destroyed.

The first step was to transform the area into a Private Reserve of Natural Heritage – RPPN Fazenda Bulcão. The title was obtained in an unprecedented way in October 1998, being the first environmental recognition granted in Brazil to a completely degraded property, given the commitment to be reforested.

The first planting was carried out in November 1999 and was attended by students from schools in the municipality of Aimorés, in Minas Gerais. Thus was born the largest proposal of the Earth Institute: to share with the community of its surroundings all the knowledge acquired in the environmental restoration of the 608.69 hectares of the RPPN Fazenda Bulcão.

To achieve this goal develops projects ranging from forest restoration and nascent protection to applied scientific research and environmental education. The financial support comes from different partners, both from the governmental and private enterprise, as well as from Foundations and individual donors from various countries and other institutions of the Third Sector.

Due to the action of the Earth Institute, thousands of hectares of degraded areas of the Atlantic Forest in the middle Doce River and close to 2,000 springs are in the process of recovery. The former cattle ranch, once completely degraded, today houses a forest with diversity of species of the flora of Atlantic Forest.

The experience proves that with the recovery of green, springs flow again and species of the Brazilian fauna, at risk of extinction, return to have a safe refuge.

avant : institutoterra.org/wp-content/uploads/2020/08/antes-1.jpg

après : institutoterra.org/wp-content/uploads/2023/06/Instituto-Terra-2022-%C2%A9Sebastiao-Salgado-221213-00-00393-scaled.jpg

#ecologie #Bresil #InstitutoTerra

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