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(si c'est un enfer fiscal pour les riches alors ça devrait théoriquement être un paradis pour les travailleur.e.s pauvres)
(Après, les décideurs sont riches donc bon, la régression depuis les trente glorieuses et 1991 était attendue...
Peut-être que les robots-esclaves et le développement de communautés autogérées rendront un jour l'argent obsolète(, plus de perte de toute une vie dans un travail-corvée(, par devoir/amour envers ses enfants, souvent), juste du travail-passion désiré pour l'ensemble de la population).)

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Morceaux pertinents

Les chiffres donnent le tournis : 1 600 parties civiles défendues par 114 avocat·es, des dizaines de milliers de victimes supplémentaires qui ne se sont pas fait connaître, et un seul accusé.

Impossibilité de se désabonner, multiplications de prélèvements sans accord du débiteur, relancement des ponctions sur les comptes en banque des mois, voire des années après la résiliation du contrat… En huit ans, Indexia-Sfam a indûment prélevé la somme ahurissante de 28,8 millions d’euros sur des comptes bancaires,

Pendant près de trois ans, c’est tout un système qui s’est mis en place dans les magasins Fnac pour faire tourner la machine. Des vendeurs et vendeuses des rayons concernés, les « PT » (pour « produits techniques »), avaient bien compris leur intérêt : « À chaque assurance vendue, la Sfam versait une bonne somme à la Fnac, sans doute plus de 100 euros, et nous touchions 5 euros, raconte un ancien vendeur de la région parisienne. En comptant vingt, vingt-cinq ventes par jour dans les périodes fastes, ça faisait une grosse somme à la fin du mois pour ceux qui ne se posaient pas trop de questions. »

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par Daniel Schneidermann, publié le 22 septembre 2024 à 16h36

Dans le procès des viols de Mazan, qui se tient en Avignon, se joue à l’évidence quelque chose, mais quoi ? C’est le premier procès du patriarcat, assure, unanime, le plateau de C ce soir, autour de Karim Rissouli et de Camille Diao. La sédation imposée par son mari à la victime Gisèle Pelicot, l’inimaginable nombre des violeurs présumés, la diversité très «société française» de leurs profils, leurs érections à l’idée de pénétrer une femme inconsciente et comateuse, leur absence d’empathie pour la victime pendant et après, jusqu’aux couloirs du palais de justice : tous ces éléments feraient emblèmes, et s’assembleraient ici comme un puzzle. Tous rassemblés révéleraient, comme dans un bain photographique, non pas un fait divers monstrueux, mais la société patriarcale dans toute sa hideur. «J’ai mal au bide en tant qu’homme», avoue Rissouli, sur Instagram, hors antenne.

L’hypothèse est vertigineuse – mais depuis #MeToo, on s’efforce de gérer ces vertiges. Elle est sans doute insupportable à la majorité des hommes. Mais ce vertige même rend son examen indispensable.

Heureusement pour les hommes tourneboulés, cette thèse du «procès du patriarcat» rencontre très vite son antidote sur les chaînes privées. «Not all men !» s’exclament ensemble LCI et CNews. «Halte à l’autoflagellation», s’exclame Ruth Elkrief (LCI) dans un «parti pris» chez David Pujadas, décelant dans cette accusation envers les hommes «une essentialisation de genre, comme l’essentialisation tout court». Et le policier qui a patiemment mené toute l’enquête ? renchérit la journaliste du Figaro Eugénie Bastié sur Europe 1. Ce n’est pas un homme, ce brigadier-chef ? CQFD.

Mais si le patriarcat est disculpé, à qui la faute ? Heureusement, chez Bolloré, les autres coupables ne manquent pas. Tels qu’Adam et Eve, explique le lendemain le philosophe Michel Onfray, sur CNews : «Le coupable, c’est pas le… patriarcat, c’est la bête en nous. Les chrétiens parlent du péché originel et disent qu’il y a le mal en l’homme. Ce mal était empêché par le catholicisme, les prêtres, la morale républicaine. Tout ça s’est effondré.»

Entre échappatoires et esquives

Suspecte parfaite, Eve. Sans parler du serpent. Mais plus près de nous ? Toujours sur CNews, Sonia Mabrouk lance le débat : «On a tous cette part très noire, monstrueuse, en nous ?» Défile alors toute la galerie des échappatoires et des esquives. Sabrina Medjebeur, «essayiste» [autrice d’un ouvrage à compte d’auteur aux éditions Baudelaire, ndlr] : dénoncer le patriarcat, d’accord, mais tous les patriarcats, y compris ceux qui se déroulent «dans des normes communautaires [devinez lesquelles, ndlr] où la fille est invisibilisée et l’homme sacralisé». Tant qu’on y est, n’oublions pas le «matriarcat sacrificiel». D’ailleurs, «il y a aussi des femmes empoisonneuses ou infanticides».

Pour Gabrielle Cluzel (Boulevard Voltaire), «il est injuste d’essentialiser les hommes». La preuve ? «Arnaud Beltrame, qui est mort pour sauver une femme, Arthur Serin, qui a porté la flamme olympique [il a sauvé sa voisine âgée lors d’un incendie et a, pour cela, été choisi pour porter la flamme, ndlr]. Et Sébastien, on ne connaît que son prénom, héros du Bataclan, qui a sauvé une femme enceinte.» Sur trois héros cités, deux se sont dressés contre la terreur islamiste. Bien joué, dans la figure imposée de CNews (toujours ramener tous les fléaux à l’islam, même la pluie en vacances).

Complices du crime : les néoféministes. Sabrina Medjebeur : «On ne les a pas vues s’insurger et soutenir les femmes qui ont subi les viols de Tariq Ramadan. On les a vues ostraciser la jeune Claire Geronimi [viol de 2023, surmédiatisé par toutes les télés Bolloré, ndlr], violée par une OQTF [obligation de quitter le territoire français]. On ne les a pas vues au procès de Shaina [en 2019, ndlr] morte brûlée vive par le jeune homme qui avait refusé que son enfant soit un bâtard.» Gabrielle Cluzel : «Ces néoféministes, qui ont conspué la galanterie, pourraient se regarder dans une glace. Quand un homme cède le pas à une femme, quand il la sert en premier à table, que lui dit-il ? Je maîtrise ma force.» Et ce n’est pas tout. «Toutes les féministes échevelées héritières de Beauvoir, il faudra qu’elles nous expliquent si elles n’ont pas été complices de la vision de femmes objets, qui s’est développée dans notre société.»

Le patriarcat est relaxé. La faute à Eve, la faute au serpent, la faute à Beauvoir, la faute aux néoféministes. On n’oublie personne ? Ah si! Gabrielle Cluzel : «Non, les hommes ne sont pas bons. Il y a une vision rousseauiste de l’homme à la base de tous nos malheurs.» Oui, la faute à Rousseau, aussi.

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submitted 11 months ago* (last edited 11 months ago) by ortaviz@jlai.lu to c/france@jlai.lu
 
 

Documentaire prenant et beau qui vaut vraiment, vraiment, la peine d'être vu pour éclairer une partie de l'histoire et de la culture française, même si les artistes mentionnés ne vous intéressent pas à priori. En 6 épisodes de 44 minutes, ça se regarde comme une série.

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La 1ère partie de mon roman d’anticipation SF est enfin terminée : 73000 mots / 442000 sec. Les 6 chapitres sont lisibles en ligne, et sur un dépôt GIT avec les matériaux pour reprendre ce cadre de création ouvert en licences libres (synopsis, personnages, schéma).

j’ai opté pour deux licences libres différentes suivant la forme du contenu, que j’ai différencié comme ceci :

– d’une part le roman dans sa forme littéraire, c’est à dire la forme la plus aboutie de mon travail constituée par le corps de texte, que j’ai placé sous licence libre Creative Commons BY-SA (permissions complètes accordées sur l’œuvre à la condition de redistribuer avec la même licence et de citer l’auteur)

– d’autre part les matériaux. Il s’agit de la synthèse des idées qui servent à ce roman : synopsis détaillé, fiches de personnages, schémas temporel, etc. Pour ces documents j’ai choisi la licence la plus ouverte possible, la CC0 (équivalent du domaine public), qui permet de détacher mes idées de mon nom d’auteur et éviter une forme d’appropriation.

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Quelques morceaux

« Je [Gabriel Attal] demanderai au premier ministre d’affirmer clairement dans sa déclaration de politique générale qu’il n’y aura pas de retour en arrière sur la PMA, le droit à l’IVG, les droits LGBT », a-t-il également indiqué à ses troupes, en référence à la tendance « Manif pour tous » du nouveau gouvernement. Invité sur France 2 dimanche soir, Michel Barnier a tenté de rassurer le camp présidentiel en assurant que les « grandes lois » de « progrès social ou sociétal » seront « intégralement préservées ». « Il n’y a aucune ambiguïté, vous m’entendez bien ? Aucune ambiguïté », a-t-il insisté.

« Retailleau, c’est celui qui a fait la loi immigration qui aurait pu être signée par le Rassemblement national, sa présence au sein de l’exécutif est une ligne rouge », affirme le député Belkhir Belhaddad, au diapason avec son collègue Ludovic Mendes. « Le dépassement oui, mais pas avec n’importe qui ! [Bruno Retailleau ou Laurence Garnier, autre soutien de la Manif pour tous, nommée secrétaire d’État chargée de la consommation – ndlr], c’est la vieille droite française, c’est la vieille France, ils ont voté contre tous les sujets sociétaux que nous avons fait avancer », s’est emporté le député.

Même circonspection chez son collègue Christophe Marion, qui confie être incapable aujourd’hui de dire s’il se situe dans la majorité ou dans l’opposition : « À la fois, j’ai envie de donner sa chance à ce gouvernement parce que mes électeurs ont envie de stabilité, mais en même temps, je ne suis pas du tout prêt à faire ce que j’ai fait pendant ces deux dernières années par fidélité : à savoir soutenir le gouvernement envers et contre tout », affirme celui qui a décidé de s’octroyer « une liberté de vote totale » sous cette nouvelle législature.

Pendant ce temps, Sacha Houlié, récent démissionnaire du groupe EPR, s’active en coulisses pour débaucher, si possible avant le discours de politique générale de Michel Barnier, les quinze députés nécessaires à la constitution d’un nouveau groupe. « Il ne reste que dix-sept députés de gauche au sein du groupe et leur voix ne compte plus. Dans ces circonstances, leur salut ne peut être que dans un groupe de centre-gauche d’opposition à M. Barnier »,

En parallèle, les grandes manœuvres du centre-gauche ont également commencé à l’échelle partisane. Alors que Sacha Houlié devrait se rendre au rendez-vous de Raphaël Glucksmann organisé en Gironde début octobre, Bernard Cazeneuve a téléphoné à François Bayrou pour l’informer qu’il se rendrait aux journées parlementaires du MoDem.

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A tous les hommes pour qui le procès Pelicot est un point de bascule, l’essayiste Morgan N. Lucas propose une feuille de route pour en finir avec les boys clubs. Plus de 200 personnalités masculines s’engagent dont Gaël Faye, Guillaume Meurice, Waly Dia, Gilles Lellouche…

Beaucoup disent que le procès des 51 violeurs est en réalité le procès de la masculinité. Beaucoup s’en offusquent, trouvant de bon ton de s’indigner parce qu’ils sont mis dans le même panier plutôt que de s’insurger face aux atrocités orchestrées par Dominique Pelicot et adoubées par tant d’autres hommes. Aujourd’hui pourtant, la question se pose : sept ans après le début de #MeToo, où en sommes-nous ? Qu’avons-nous appris ? Comment nous sommes-nous positionnés ? Où sommes-nous lorsque nos potes, nos collègues, nos frères ont des comportements ou des propos sexistes ? Où sommes-nous lorsque les femmes sont agressées ? Sans doute occupés à questionner la crédibilité de la victime, tout en affirmant que «pas tous les hommes», encore moins nous.

Pourtant, l’affaire Pelicot nous l’a prouvé, la violence masculine n’est pas une affaire de monstres, c’est une affaire d’hommes, de monsieur Tout-le-Monde.

Dire «tous les hommes», c’est parler de violences systémiques perpétrées par tous les hommes, parce que tous les hommes, sans exception, bénéficient d’un système qui domine les femmes. Et puisque nous sommes tous le problème, nous pouvons tous faire partie de la solution.

Mais alors par quoi commence-t-on lorsqu’on se rend compte que le patriarcat s’essouffle, que le vieux monde se meurt ?

Avant toute chose, on arrête de se croire indispensables. On comprend que les femmes n’ont pas besoin de nous et encore moins en ce qui concerne la libération féministe. Elles ont surtout besoin qu’on cesse de leur mettre des bâtons dans les roues. Comprenez que nos gros ego les empêchent d’avancer, que les «not all men» ne servent qu’à vous rassurer vous, pas elles. Il ne suffit pas de dire «moi je ne suis pas comme tous les hommes», ici les mots n’ont aucune valeur face à l’ampleur des violences. Aucune tant qu’ils ne sont pas suivis d’actions concrètes et quotidiennes.

Alors à ceux pour qui le procès Pelicot est le point de bascule. A ceux qui refusent de continuer à participer à un système qui, pour exister, a besoin de dominer la moitié de la population. Il est un peu tard mais il est encore temps. Toutefois, ne pensez pas que la mission consiste à jouer les héros, ne les libérez pas, cela fait des siècles qu’elles s’en chargent.

Il y a quelques mois, dans une interview, un acteur disait être prêt à mettre la main à la pâte mais demandait une feuille de route.

La voici, donnée par un homme aux autres hommes parce qu’il va falloir arrêter de demander aux femmes de nous mâcher le travail.

Arrêtons de considérer que le corps des femmes est un corps à disposition. Assurons-nous toujours du consentement de nos partenaires, cessons de le considérer comme une entrave mais plutôt comme le fondement nécessaire à toutes nos relations.
Prenons en charge nos émotions, arrêtons de nous regarder le nombril, d’inverser la charge victimaire, acceptons de nous remettre en question.
Désapprenons ce que l’on nous a enseigné, raconté de la masculinité, arrêtons de penser qu’il existe une nature masculine qui justifierait nos comportements. Il n’y a pas de nature dominante mais bien une volonté de dominer.
Examinons nos très nombreux privilèges pour les mettre au service du bien commun puis, à long terme, acceptons de les perdre complètement. Pour rappel, l’objectif final étant d’en finir avec cette organisation genrée qui induit «une division hiérarchique de l’humanité en deux moitiés inégales».
Eduquons-nous tout seul en continu et en profondeur, et arrêtons de penser que parce qu’on a lu un livre féministe, nous pouvons désormais mansplainer aux femmes les tenants et les aboutissants de leur lutte.
Apprenons à prendre au sérieux la parole féministe et pas uniquement lorsqu’elle sort de la bouche d’un homme. Nous ne faisons que répéter ce que les féministes disent depuis des siècles. Il serait alors de bon ton de commencer à croire directement celles qui sont à l’origine de ces théories sans attendre que la gueule du messager, parce qu’elle nous ressemble, nous revienne davantage.
Cessons de perpétuer les boys club, de protéger nos homologues masculins. Soyons solidaires avec les victimes, pas les agresseurs.
Comprenons que si aucune femme dans notre entourage ne se confie à nous sur les violences qu’elle a subies, cela ne sous-entend pas que ça n’existe pas. Par exemple, ce n’est pas parce que vous n’avez pas d’obus dans votre salon, que la guerre n’a pas lieu. La violence masculine est une réalité systémique. Il y a urgence à nous décentrer de nos propres expériences pour se forger une vision du monde plus ajustée. Il y a aussi urgence à nous montrer suffisamment dignes de confiance pour qu’elles puissent enfin nous raconter leurs réalités sans craindre nos réactions.
Ecoutons vraiment les femmes lorsqu’elles nous font part de leurs besoins et de leurs limites. Il est probable que si nous cessions deux secondes d’être en posture défensive, nous serions sans doute surpris par ce que l’on peut apprendre quand nous ne sommes pas occupés à nous justifier. N’acceptons pas uniquement de les écouter lorsque leur ton est plaisant. Elles sont tristes et en colère à raison, laissons-les nous l’exprimer.
N’attendons pas qu’une femme nous dise quoi faire pour nous mettre au travail. On a deux yeux pour voir et analyser notre environnement, on peut donc savoir ce qu’il est nécessaire de faire. Parce que c’est aussi une charge mentale de devoir nous dire les choses.

Et enfin : faisons tout ceci en silence, sans le crier sur tous les toits, sans attendre des applaudissements ou des félicitations.

On ne le dira jamais assez : «allié» n’est pas un statut qu’on s’auto-attribue, c’est un nom et un verbe. Il ne s’agit pas seulement de se dire mais d’agir et ce 365 jours par an. C’est un rôle qui devrait nous coûter, a minima, un peu de notre confort personnel. Et si tu souhaites te mobiliser tout de suite aux côtés des femmes dans la lutte contre les violences sexuelles, tu peux participer à la campagne #NotAllMen de la Fondation des femmes.

Alors voilà, tu l’as ta feuille de route. Tu ne pourras plus, aucun de nous ne pourra désormais dire qu’il ne sait pas quoi faire.

P.S : il est fort probable que d’autres hommes vous reprochent de mettre à mal votre virilité. Si tel est le cas, c’est un signe que vous êtes sur la bonne voie. Continuez.

Dernier ouvrage paru : Ceci n’est pas un livre sur le genre aux éditions Hachette Pratique.

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