France

Le titre de la vidéo youtube dit que ça a été censuré, je sais pas si c'est vrai mais c'est la première fois que je l'entends.

L'obstacle en caoutchouc vulcanisé qui a été volé n'était pas légalement un ralentisseur et est interdit sur la voie publique pour sa dangerosité pour les deux roues, mais attention c'est mettre les enfants en danger. Les municipalités en roue libre.

Alerte gâchette : Madame Vapote prend cher (pire qu'Asuka contre 9 anges V2). Vous voilà prévenus.

Usually, it is organized and covered by your company and the results are sent straight to the company, with all the results of all the exams you have passed. If you do it separately you have to send them the results anyways, the law says they have to keep your results for 5 years.

As far as I know, it started from a good intention. Because too many companies were abusing their workers, the government made companies responsible for the health of their employees. But that was creepily applied as having the company know everything about your health so they can push you do do more health exams, get treated and change your lifestyle.

I guess it's part of the philosophy of putting the group before the individual.

While it seems most companies are respectful and will not check for anything not strictly necessary for the job, there are, as expected, horror stories of employees getting discriminated based on health results, for exemple missing a promotion because there's some warning in the results. There are also people who do a "healthy month" before the checkup so the company will see better results than reality.

I did check if the GDPR could protect me, but no, it only applies when you reside in EU.

The exam itself at the clinic was very professional and efficient.

À mettre en parallèle avec la dégradation généralisée du réseau routier, dont un nombre croissant d’ouvrages d’art, malgré des budgets toujours plus démesurés.

Alexandre Portier a affirmé mercredi 27 novembre que le programme n’était pas en l’état « acceptable », qu’il était hors de question de « laisser faire n’importe quoi » et qu’il s’engageait, comme « élu et père de famille », à ce que la « théorie du genre » n’ait pas « sa place à l’école ». Et le cabinet de la ministre d’utiliser les mêmes termes, dans les éléments fournis dans la foulée à la presse, ce vocable de « théorie du genre » pour justifier les « modifications » qui seront bientôt opérées sur le programme.

La « théorie du genre » est l’un des totems préférés de la droite dure et de l’extrême droite depuis plusieurs années. Ce concept, jamais sérieusement défini, charrie toute une série de paniques morales autour de la sexualité et de l’identité, et sert le plus souvent de paravent à une homophobie, une transphobie et un sexisme décomplexé.

« L’idée est de faire croire qu’en parlant d’identité de genre, d’égalité fille-garçon, de sexisme ou encore de discrimination homophobe ou transphobe à l’école, on essayerait de pousser un agenda pour transformer les enfants en de parfaits petits LGBT, c’est n’importe quoi », s’indigne James Leperlier, du mouvement Inter-LGBT,

Monsieur le Premier Ministre,

(...)

« Les Français attendent que nous regardions la réalité en face », disiez-vous sur X (ex-Twitter), récemment, pour évoquer le budget. Mais il ne s’agit plus de cela. On ne parle plus de réalité. La preuve, vous, Premier ministre de la France, vous le disiez sur X.

Désabonnez-vous, écrivez des communiqués à l’Agence France-Presse, et méditez ce que cachait sans doute la célèbre phrase de Jacques Lacan : « Le réel, c’est quand on se cogne. » Le virtuel, c’est quand on ne sait pas qu’on saigne.

Attends, quoi ? o_Ô!!

OK, leur humour casse pas des briques, mais sentir sa voix portée, c'est bon pour l'égo.