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Communauté de secours:

founded 2 years ago
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Malheureusement je n'ai pas trouvé d'article en français qui en parle, alors même que l'Arabie saoudite menace la dette française explicitement.

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j'ai remarqué qu'il y avait beaucoup de tumulte en France sans vraiment comprendre ce qui se passe. Je sais qu'il y a eu des élections et que la droite a failli gagner, mais je ne comprends pas pourquoi la droite est tant adulée par les habitants de la compagnes et pourquoi la haine de l'autre est devenue si banale ( petit rappel à la vidéo de la femme qui hurlait des propos racistes et xénophobes à sa voisine).

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Bon amusement, Je sens que les téléphones de beaucoup d'élus doivent chauffer pour connaitre leurs intentions.

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TL;PL : la répression ne fonctionne pas car les dealers concurrents prennent la place, sans hésiter à recourir à la violence.

L'exemple américain : opération "cessez le feu" Boston 1996. Grâce à l'action coordonnée de tous les services de la ville, l'objectif est de limiter la concentration de la vente de drogue ainsi que les troubles et la criminalité qui l'accompagnent. La police choisit d'exercer une pression forte sur un nombre relativement restreint de vendeurs de drogue, les plus dangereux, alors que les "petits poissons" sont informés des risques encourus, relâchés et accompagnés par des travailleurs sociaux. Ces derniers ont pour mission de fournir une aide aux individus ainsi qu'à leurs familles (logement, emploi, éducation, santé et sécurité) pour favoriser l'abandon de l'activité illégale.

Problème : cela demande une connaissance précise du terrain et des acteurs, et la collaboration de tous les services publics.

En France, nous ne disposons ni de données précises ni d'analyse des marchés de la drogue à ciel ouvert, la statistique publique ne permet pas d'avoir une "idée claire des budgets publics attribués à la lutte contre les drogues illicites". Le manque de travaux d'évaluation des politiques policières et judiciaires en France rend le Gouvernement aveugle quant à leur efficacité.

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Je ne suis ni triste, ni heureux. Consolation : je suis toujours en vie. Merci à RealMyope et CœurDeVandale pour la découverte.

Paroles

This was a triumph.
I'm making a note here:
huge success.

It's hard to overstate
My satisfaction.

Aperture Science.
We do what we must
Because we can.
For the good of all of us.
Except the ones who are dead.

But there's no sense crying
Over every mistake.
You just keep on trying
Till you run out of cake.
And the Science gets done.
And you make a neat gun.
For the people who are
Still alive.

I'm not even angry.
I'm being so sincere right now.
Even though you broke my heart.
And killed me.

And tore me to pieces.
And threw every piece into a fire.
As they burned it hurt because
I was so happy for you!

Now these points of data
Make a beautiful line.
And we're out of beta.
We're releasing on time.
So I'm GLaD. I got burned.
Think of all the things we learned
For the people who are
Still alive.

Go ahead and leave me.
I think I prefer to stay inside.
Maybe you'll find someone else
To help you.
Maybe Black Mesa...
THAT WAS A JOKE, HA HA, FAT CHANCE.

Anyway this cake is great
It's so delicious and moist

Look at me still talking when there's science to do
When I look out there
It makes me GLaD I'm not you.

I've experiments to run
There is research to be done
On the people who are
Still alive.

And believe me I am still alive
I'm doing science and I'm still alive
I feel FANTASTIC and I'm still alive
While you're dying I'll be still alive
And when you're dead I will be still alive
Still alive
Still alive.

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https://jlai.lu/post/8113282 pour les gens sur Jlailu

!forumlibre@jlai.lu pour les gens sur une autre instance

Pour centraliser la discussion qui a démarré là-bas, je verrouille les commentaires ici

https://canvas.fediverse.events

Au passage, je profite du post méta pour promouvoir les autres communautés actives de l'instance

La liste complète est sur https://jlai.lu/communities

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Au congrès du MRJC, l’enjeu du renouvellement des générations

Reportage : Le MRJC, le Mouvement rural de jeunesse chrétienne, a clôturé son congrès annuel en Meurthe-et-Moselle ce dimanche 30 juin. L’événement fut notamment l’occasion de questionner le renouvellement des générations en agriculture.

Alban de Montigny, le 30/06/2024 à 18:34

Le 11 novembre 1924, à Drouville, en Meurthe-et-Moselle, un groupe de jeunes gens « pleins de bonne volonté », se réunit à l'initiative d'un séminariste. Ensemble, ils s'apprêtent à poser la première pierre de ce qui deviendra la Jeunesse agricole catholique. Cent ans plus tard, la JAC, devenue entre-temps le MRJC, Mouvement rural de jeunesse chrétienne, organisait du 27 au 30 juin son congrès annuel à Choloy-Ménillot (Meurthe-et-Moselle). Le mouvement, qui a connu son âge d'or dans les années d'après-guerre, compte aujourd'hui 3 000 membres âgés de 13 à 30 ans, de toutes confessions.

Ce rassemblement a notamment été l'occasion d'organiser une table ronde avec des représentants des syndicats, la Confédération paysanne et les Jeunes Agriculteurs, autour du rôle joué par les jeunes dans « la transformation du rural par l'agriculture ». En toile de fond, notamment, l'enjeu démographique : d'ici à dix ans, un tiers des agriculteurs seront en âge de partir à la retraite. « Nous partageons le même constat : il est aujourd'hui compliqué pour des jeunes de s'installer ou de changer les pratiques quand ils arrivent dans une ferme familiale », soulignent Marie Davy et Emma Beaudoin, secrétaires nationales à l'agriculture au MRJC.

Des jeunes tournés vers l'agriculture biologique

En février dernier, en plein Salon de l'agriculture, l'organisation avait dénoncé dans une tribune un système « à bout de souffle », déplorant au passage le « manque d'accompagnement à la transmission », « la difficulté de l'accès au foncier », « l'endettement quasi inévitable pour se lancer et produire »...

Au sein du mouvement, nombreux sont ceux qui se posent la question de l'installation, qu'ils soient issus du milieu agricole ou non. Lorsqu'ils franchissent le pas, l'immense majorité opte pour l'agriculture biologique. Un choix pas étonnant quand on connaît la réflexion menée par le MRJC autour de l'agroécologie.

D'ailleurs, durant la mobilisation des agriculteurs cet hiver, l'organisation, qui se retrouve sur plusieurs sujets avec la Confédération paysanne, a tenté de faire entendre sa voix face au discours porté notamment par le syndicat majoritaire, la FNSEA. « Il ne faut pas se tromper de responsables : les normes environnementales et les contraintes réglementaires ne peuvent pas être les fusibles qui apaiseraient la crise », écrivait le mouvement dans un communiqué le 25 janvier, tout en ajoutant, « nous avons besoin de normes pensées par et pour les agriculteurs.ices, et les citoyen·nes, qui soient adaptées à la réalité des fermes et appliquées avec humanité ».

Engagé au MRJC depuis ses 14 ans, Joachim, ingénieur agronome de 29 ans, envisage de s'installer dans quelques années en tant que « paysans chercheur », un statut défendu par le Tour de France agricole, un groupe soutenu par le MRJC. À ses yeux, la crise agricole « a été perçue comme uniforme alors qu'elle cache des réalités très diverses. La FNSEA et le gouvernement ont récupéré ce mouvement et ont fait de l'écologie le bouc émissaire alors qu'elle n'est pas la cause des problèmes de revenu des agriculteurs ».

Appel à faire barrage à l'extrême droite

Pour l'organisation de jeunesse, ce congrès annuel a aussi été l'occasion d'échanger sur le contexte politique. Si un débat n'était pas prévu dans l'ordre du jour, un temps d'échange a finalement été proposé à l'initiative de l'une des sections locales. Apolitique, mais idéologiquement marqué à gauche, le MRJC avait appelé durant la campagne des législatives à faire barrage contre l'extrême droite.

Pour la présidente du MRJC, Manon Rousselot-Pailley, le mouvement d'éducation populaire a d'ailleurs plus que jamais un rôle à jouer en milieu rural alors que 93 % des communes françaises ont placé le RN en tête aux européennes, le 9 juin : « je suis convaincue que les idées que nous défendons, mais aussi notre manière de nous organiser, d'expérimenter la démocratie infusent chez des jeunes qui demain seront acteurs de leur territoire. »

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https://www.la-croix.com/economie/l-enjeu-central-du-foncier-dans-le-renouvellement-du-monde-agricole-20240524, Alban de Montigny, le 24/05/2024 à 20:07

Les débats à l'Assemblée nationale autour du projet de loi d'orientation agricole, visant notamment à assurer la relève d'un monde agricole vieillissant, doivent se conclure vendredi 24 mai avant un vote solennel mardi 28 mai. Tout au long des échanges, les députés de l'opposition ont déploré le manque d'ambition du texte en matière de régulation du foncier.

En ce 15 mai, le député socialiste Dominique Potier monte à la tribune de l'Assemblée nationale. Les débats autour du projet de loi d'orientation « pour la souveraineté en matière agricole et le renouvellement des générations en agriculture », viennent de commencer.

« L'accaparement des terres est un incendie et nous fermons les yeux. Pire, nous inventons avec l'introduction des fonds spéculatifs un lance-flamme face à cet incendie. C'est une folie, c'est une irresponsabilité », déclare-t-il attaquant d'emblée le gouvernement sur l'une des mesures polémiques du texte : la création de groupement foncier agricole d'épargne.

Aux yeux du ministre de l'agriculture et de la souveraineté alimentaire, Marc Fesneau, cet outil permettrait de faciliter l'installation : des acteurs privés ou publics achètent des terres et les louent aux agriculteurs qui ne peuvent en acquérir. Pour les oppositions, qui avaient rejeté auparavant cet article en commission, ce mécanisme renforce la « financiarisation » de l'agriculture avec des investisseurs qui chercheront avant tout à avoir un retour sur investissement et donc choisiront de louer les parcelles aux agriculteurs capables de payer les loyers les plus élevés. Elles soulignent aussi le risque de spéculation conduisant une hausse des prix. Plus globalement, elles dénoncent l'absence de mesures structurantes en matière de foncier dans le projet de loi d'orientation.

Le foncier, première barrière pour les nouveaux installés

Au fond, ce débat met en lumière l'enjeu de l'accès à la terre dans le renouvellement des générations ; c'est le premier frein à l'installation. D'ici à dix ans, un tiers des agriculteurs seront en âge de partir à la retraite. Or, 60 % des personnes qui souhaitent s'installer ne reprennent pas une ferme familiale.

Le morcellement des terres du fait des partages successoraux complique l'installation. En effet, un repreneur qui a été désigné par l'exploitant qui part à la retraite peut se voir refuser la location d'hectares par l'un des propriétaires ; une exploitation est souvent composée de plusieurs parcelles détenues par différents propriétaires. « Un agriculteur louant des terres avait trois ou quatre propriétaires en 1980, il en a 14 aujourd'hui », souligne la Fédération Terre de liens dans sa seconde édition de son rapport sur l'état des terres agricoles en France, paru en 2023. Des blocages surviennent également en cas d'indivision.

Par ailleurs, le montant limité du fermage (en moyenne 150 € par hectare et par an) peut pousser des propriétaires à louer leurs terres à des activités agricoles plus lucratives. Et lorsqu'ils choisissent de vendre, ils peuvent être tentés de se tourner vers des agriculteurs voisins qui veulent s'agrandir et qui, disposant de davantage de capital, proposeront une meilleure offre.

Ce phénomène d'agrandissement s'explique notamment par la volonté des agriculteurs de se constituer un patrimoine en vue de leur retraite. « La terre comme capitale retraite ralentit le renouvellement des générations », observe Terre de liens dans son rapport.

La tentation de contourner des outils de régulation

Le recul de la transmission intrafamiliale, le phénomène de concentration, ou encore le développement d'usages non agricoles sont autant d'évolutions qui viennent bousculer le système de régulation imaginé dans l'après-guerre et qui comprend : le statut du fermage ; le mécanisme des autorisations administratives en cas, par exemple, de projet d'agrandissement ; et les Safer, les Sociétés d'aménagement foncier et d'établissement rural, qui disposent d'un droit de préemption au motif de l'intérêt général (la terre est revendue en priorité à un jeune).

Aujourd'hui, une part grandissante des terres échappe au mécanisme de régulation des Safer. Dans son rapport, Terres de liens mettait en lumière la montée en puissance des sociétés à capital ouvert. Selon Agreste, service statistique du ministère de l'agriculture, celles-ci représentaient en 2020 une ferme sur dix et contrôlaient 14 % de la surface agricole utilisée en France contre 7 % en 2000.

Un tiers de ces sociétés n'est pas contrôlé par des associés exploitants. « Lorsque les terres sont la propriété de la société, les preneurs de parts dans la société deviennent, de fait, propriétaires de terres, sans les avoir directement achetées. Le marché des parts de société est donc devenu un marché parallèle des terres agricoles », explique Terre de liens.

Les Safer estiment qu'au moins 200 000 hectares transitent ainsi chaque année. Votée en 2021, la loi Sempastous vise à limiter les opérations d'agrandissement via des cessions de part. Mais aux yeux de plusieurs parlementaires et acteurs du secteur, elle n'est pas assez ambitieuse

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Ça ne m'a frappé que ce matin, mais franchement, y'avait pas un peu de ça ?

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Paroles

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Je m'souviens, un mardi

J'ai troqué mes santiag'
Et mon cuir un peu zone
contre une paire de dockside
Et un vieux ciré jaune,

J'ai déserté les crasses
Qui m'disaient : Sois prudent
La mer c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans !

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu, tant pis...

J'ai eu si mal au coeur
Sur la mer en furie
Qu'j'ai vomi mon quatre-heures
Et mon minuit aussi.

J'me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ca m'a coûté des sous
C'est d'la plaisance, c'est l'pied !

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Mais elle prend pas la femme
Qui préfère la campagne.

La mienne m'attend au port
Au bout de la jetée
L'horizon est bien mort
Dans ses yeux délavés,

Assise sur une bitte
D'amarrage, elle pleure
Son homme qui la quitte,
La mer c'est son malheur !

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Comme on prend un taxi...

Je f'rai le tour du monde
Pour voir à chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien m'lâcher la grappe,

J'irai z'aux quatre vents
Foutre un peu le boxon
Jamais les océans
N'oublieront mon prénom...

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Et mon bateau aussi...

Il est fier mon navire
Il est beau mon bateau
C'est un fameux trois-mâts
Fin comme un oiseau hisse ho !

Mais Tabarly, Pajeot
Kersauzon et Riguidel
Naviguent pas sur des cageots
Ni sur des poubelles !

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

"C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme"
Moi la mer elle m'a pris
Je m'souviens, un vendredi

Ne pleure plus ma mère
Ton fils est matelot
Ne pleure plus mon père
Je vis au fil de l'eau,

Regardez votre enfant
Il est parti marin
Je sais c'est pas marrant
Mais c'était mon destin.

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

Dès que le vent soufflera je repartira
Dès que les vents tourneront nous nous en allerons...

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publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/8397247

Circonscriptions de l'isère : député.e.s élu.e.s

1ère = Grenoble Centre + Meylan : Hugo PREVOST LFI-NFP

2ème = Echirolles SMH Vizille : Cyrielle ChATELAIN EELV-NFP

3ème = Grenoble 38100 Veurzey Noyarey : Elisa MARTIN LFI-NFP

4ème = Varces, Vif, Pont-de-Claix, Claix, Seyssins, Seyssinet, Trièves, Oisans, Vercors, Matheysine : Marie-Noëlle BATTISTEL PS-NFP

5ème = Grésivaudan, Belledonne, Chartreuse, St Egrève, St Martin le Vinoux : Jérémie IORDANOFF EELV-NFP

6ème = Bourgoin nord - Crémieu - Morestel : Alexis JOLLY RN

7ème = Bièvre St Geoirs Beaurepaire : Yannick NEUDER LR

8ème = Vienne, Heyrieux, Roussillon : Hanane MANSOURI RN

9ème = Voiron, Tullins : Sandrine NOSBÉ LFI-NFP

10ème = La Tour-du-Pin - L'Isle-d'Abeau Thierry Perez RN

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Ah, enfin !

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